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Dans le cadre du PHRC ANGPTL4, dont le financement s’est terminé en 2015 (1 publication sur le rôle d’ANGPTL4 comme biomarqueur diagnostic des cancers du rein à cellules claires).
Les travaux étendus à d’autres patients et d’autres types de cancers ont permis de montré qu’ANGPTL4 sérique était associé au risque de métastases cérébrales dans les cancers du sein métastatique.

Dao VT, Gapihan G,Lebœuf C, Hamdan D, Feugeas JP, Boudabous H, Germain S, Janin A, Bousquet G. ANGPTL-4 and risk of brain metastases in women with metastatic breast cancer. Oncotarget 2020.

La collaboration se poursuit autour de la compréhension de la structure 3D des néo vaisseaux des cancers du rein à cellules claires.

Depuis 2012. Cette collaboration a été initiée dans le cadre d’une étude pharmacologique pilote du dosage du trastuzumab dans le LCR ventriculaire d’une patiente traitée par des injections intra-ventriculaires répétées pour le traitement de métastases cérébrales résistantes aux traitements. Cette étude de “preuve de concept” a fait l’objet d’une publication dans le Journal of Clinical Oncology.

Il s’agit d’une collaboration avec des physiciens de l’ESPCI et Ecole Centrale, les Dr Thomas Pons et Pr Bruno Palpant, autour du développement de nanoparticules d’or pour le traitement des cancers chimio-résistants, d’abord un Programme Blanc ANR “Nan’Onsen”, et depuis 2018 un Plan Physique-Cancer “HEPPROS” également en collaboration avec Sylvie Marguet chimiste au CEA sur la synthèse de nano-objets.

Cette collaboration a permis de publier nos travaux sur le développement pré-clinique de nanoparticules d’or hybrides pour cibler des cancers du sein HER2 résistants au trastuzumab.

Cette collaboration a été initiée en 2017 autour de l’ingénierie de fragments Fab du trastuzumab, pour le traitement des métastases cérébrales de cancers du sein HER2 résistantes. Elle a permis le co-encadrement sur l’année 2018-2019 d’une étudiante biologiste en Master 2, Justine Paris, désormais inscrite en Thèse de Sciences dans mon équipe de recherche. 

Elle a conduit à une collaboration industrielle avec la start-up “SKYMAB” du Commissariat à l’Energie Atomique depuis 2018, autour du développement préclinique et clinique précoce d’anticorps thérapeutiques.

U942INSERM vsuel2

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